Matins.
Herbe humide de rosée.
Ouvrir la porte, entrer dans le silence ouaté et bleu blême du jardin qui enclot la maison, petite et ronde sur le flanc du bois sombre.
Plus loin les arbres silencieux et complices, géant ombreux de la nuit au réveil.
Pas mat sur l'herbe, crissant dans l'allée.
Clac de la barrière. Emplir ses poumons et sourire. Plaisir de marcher, solitude douce tout à l'heure rompue.
vendredi 2 octobre 2009
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